Médecins
Des cellules cancéreuses détruites par des fréquences de résonance
Des chercheurs démontrent comment les cellules cancéreuses sont détruites par des fréquences de résonance.
Un nouveau traitement du cancer est d'utiliser des fréquences de résonance pour briser divers types de cellules cancéreuses.
Les ondes électromagnétiques peuvent-elles soigner le cancer ?
Souvent décriées, les ondes électromagnétiques pourraient bien détruire certaines tumeurs selon des chercheurs de Limoges. Elles pourraient même devenir une alternative aux radiothérapies et chimiothérapies, qui peuvent provoquer de lourds effets secondaires.
Explications.
Par la rédaction d'Allodocteurs.fr
Rédigé le 18/09/2018
Recherche : Et si les ondes électromagnétiques permettaient de traiter le cancer ?
Soigner le cancer, puis soigner les effets du traitement de ce cancer... Les radiothérapies et les chimiothérapies détruisent les cellules cancéreuses mais aussi les cellules saines. Alors comment améliorer la prise en charge ? A Limoges, des chercheurs suivent une piste pas comme les autres. Ils ont lancé une expérimentation unique en France : utiliser une onde pour détruire les cellules cancéreuses.
Transpercer la membrane d'une cellule nécessite une charge électrique surpuissante. Certains des matériels utilisés par l'équipe sont uniques au monde. Les chercheurs envoient une onde de quelques nanosecondes seulement. Pour mieux se rendre compte des effets de l'onde, la cellule est baignée dans un liquide fluorescent. L'onde est envoyée, la cellule se remplit du liquide, c'est la preuve que la membrane a bien été transpercée.
"L'onde va d'abord ouvrir la membrane de la cellule et va se propager à l'intérieur et créer des désordres à l'intérieur de la cellule que la cellule ne sera pas capable de réparer. Et comme elle n'est pas capable de réparer ces désordres, elle va préférer mourir, elle va s'autodétruire. Cela va provoquer une sorte de suicide cellulaire", explique le Pr Catherine Yardin, histologiste.
Ce phénomène bien connu des biologistes s'appelle l'apoptose. L'idée est donc de provoquer cette mort cellulaire uniquement sur les cellules cancéreuses. Prochaine étape : trouver le moyen de marquer spécifiquement les cellules à éradiquer. "L'idée, c'est d'aller au contact direct des cellules qui sont en train de proliférer. Et donc ça va permettre de cibler spécifiquement et donc d'avoir moins d'effets délétères aux alentours", précise le Pr Yardin.
C'est donc un nouveau champ thérapeutique qui s'ouvre pour les prochaines années. Cette recherche à la rencontre de la physique et de la biologie a déjà un nom : l'électrothérapie.
L’énergie vibratoire des ondes électromagnétiques.
Différents chercheurs ont mis en évidence l’existence de notre corps énergétique qui est le champ électromagnétique, ou aura, de notre corps physique.
Cette énergie a pu être mesurée et matérialisée sur une plaque photographique par le procédé Kirlian (haute fréquence) ou encore celui de la spectroscopie (basse fréquence)
De Jeff Roberts, Collective Evolution, le 21 Janvier 2016 [traduit par Siri Kar Singh]
Un nouveau traitement du cancer est d’utiliser des fréquences de résonance pour briser divers types de cellules cancéreuses.
Dans sa présentation TEDx Talk, « Le cancer malmené avec des fréquences de résonance , » le professeur agrégé et directeur de la musique à Skidmore College , Anthony Hollande , dit à l’auditoire qu’il a un rêve . Ce rêve est de voir un avenir où les enfants n’ont plus à subir les effets toxiques des médicaments contre le cancer ou des traitements de radiothérapie , et aujourd’hui lui et son équipe pensent avoir trouvé la réponse .
Beaucoup d’entre nous ont probablement vu ou entendu parler des verres qui volent en éclat avec le son de la voix . Cette prouesse , Hollande explique , est due à un phénomène appelé fréquence de résonance . Quand quelqu’un éclate un verre avec sa voix, il émet une fréquence de résonance naturelle . Pour induire l’éclatement , la vibration de la voix de la personne doit correspondre à la fréquence de résonance du verre, de plus en plus fort jusqu’à ce que le verre se brise enfin .
Prenant en compte ce phénomène , Hollande et son équipe de chercheurs se sont demandés si ils pouvaient provoquer le même effet sur un micro-organisme vivant ou une cellule. Ils prirent connaissance du travail d’un chercheur chinois , Dr. Mae – Wan Ho , qui a découvert que les cellules vivantes présentaient des propriétés similaires aux cristaux liquides. Avec cela en tête , Hollande et son équipe se sont demandés s’ils pouvaient affecter une cellule en envoyant un signal électrique spécifique , un peu comme nous le faisons avec la technologie LCD.
Après avoir fouillé la base de données de brevet pour trouver un appareil qui pourrait accomplir cette fonction, ils sont tombés sur un dispositif thérapeutique inventé par un médecin du Nouveau-Mexique, le Dr. James Bare . Le dispositif utilise une antenne à plasma qui pulse en alternance , ce qui est, comme Hollande explique ,important car une impulsion constante de l’électricité produirait trop de chaleur et donc détruirait la cellule.
Durant les 15 mois suivants , Hollande et son équipe ont cherché la fréquence exacte qui détruirait directement un micro-organisme vivant. Le chiffre magique est finalement venu sous la forme de deux données, une fréquence élevée et une autre faible. La fréquence élevée devait être exactement onze fois plus élevée que l’autre, ce qui dans la musique est connu comme la 11e harmonique. Avec cette 11e harmonique , les micro-organismes commencent à se détruire comme le verre de cristal.
Après avoir fait des recherches pour obtenir une procédure efficace , Hollande a commencé à travailler avec une équipe de chercheurs sur le cancer dans le but de détruire les cellules cancéreuses ciblées . D’abord, ils ont examiné les cellules du cancer du pancréas , par la suite ils ont découvert que ces cellules étaient particulièrement vulnérables entre 100.000 – 300.000 Hz.
Ensuite ils se sont passés aux cellules leucémiques , et ils ont réussi à détruire les cellules leucémiques avant qu’ils puissent les diviser . Mais, comme Hollande l’explique dans son discours , il avait besoin statistiques plus importantes afin que le traitement devienne une option viable pour les patients atteints de cancer . Alors, quel genre de numéros ont-ils produit ?
Dans des expériences répétées et contrôlées , les fréquences , appelées technologie du champ électrique oscillant pulsé ( TCEOP ) ont tué en moyenne de 25 % à 40 % des cellules leucémiques , allant jusqu’à 60 % dans certains cas . En outre, l’ intervention ralenti aussi le taux de croissance des cellules cancéreuses jusqu’à 65 %. Ce fut un coup double .
L’équipe a également trouvé le succès en s’attaquant aux cellules cancéreuses de l’ovaire . Plus récemment , ils ont testé le traitement contre le super microbe mortel SARM , un organisme qui est résistant à de nombreux antibiotiques habituels . Des milliers de personnes meurent chaque année du SARM , explique Hollande , et les médicaments habituellement utilisés contre l’agent pathogène sont connus pour avoir des effets secondaires toxiques . Incroyablement, la thérapie de fréquence a éliminé la résistance aux antibiotiques , et les chercheurs ont été en mesure d’introduire une petite quantité d’antibiotique pour tuer le microbe .
Hollande espère qu’un jour, le traitement remplacera les traitements conventionnels toxiques actuellement disponibles pour les patients . À la fin de son discours, il a décrit sa vision des cliniques pour traiter le cancer pour l’avenir :
« Je crois que l’avenir des hôpitaux pour le cancer des enfants sera un endroit différent . Ce seront des lieux où les enfants se retrouveront et se feront de nouveaux amis, sans même savoir qu’ils sont malades . Ils vont dessiner des images , de la couleur dans leurs livres , et jouer avec leurs jouets , tout en ignorant que – au dessus d’eux , une belle lumière de plasma bleu, émanera la guérison , pulsant des champs , détruisant leur cancer , sans douleur , et de façon non toxique , cellule après cellule. Je vous remercie. »
Il est également important de mentionner qu’en 1920 que la Royal Rife a pour la première fois identifié le virus du cancer humain en utilisant le plus puissant microscope du monde . Après avoir identifier et isoler le virus , il a été décidé de le cultiver sur du porc salé . A l’époque c’était une très bonne méthode pour cultiver un virus .
La culture fut ensuite injectée dans 400 rats qui, comme on pouvait s’y attendre , ont tous déclaré un cancer très rapidement . L’étape suivante pour Rife prit une tournure intéressante . Il a trouvé par la suite la fréquence de l’énergie électromagnétique qui causait le virus du cancer ce dernier diminuait complètement lorsqu’il entrait dans un champ de l’énergie . La grande découverte a conduit Rife à créer un dispositif qui pouvait être accordé à la fréquence de sortie qui détruit le cancer. Il a ensuite été en mesure de traiter le cancer sur les rats et sur les patients qui étaient à proximité de l’appareil.
Conférence de Holland au Tedx Talk
L'ADN électromagnétique et la communication entre cellules
Dr. en Sciences PhysiqueAlain BOUDET
Indications sur l'état sanitaire d'une cellule
Dans les années 1950 - 60, les chercheurs russes remarquent que lorsqu'un système biologique est soumis à une destruction (chauffage, congélation, empoisonnement), son émission photonique augmente, comme s'il envoyait un avertissement. Cette émission cesse à la mort du système.
Les chercheurs russes des années 70 (S. Stschurin, V.P. Kaznacheev et L. Michailova que nous avons présentés plus haut) ont constaté que l'intensité du rayonnement cellulaire change quand la cellule est agressée, endommagée ou qu'elle meurt.
Les cellules vivant normalement émettent un courant lumineux constant. Lorsqu'un virus pénètre dans les cellules, le rayonnement se modifie: augmentation du rayonnement, puis silence, puis nouvelle augmentation, puis extinction progressive du rayonnement en ondes multiples jusqu'à la mort des cellules. [Cité par F.A. Popp, Biologie de la lumière]
En 1974, Stschurin énonce: Les cellules touchées par différentes maladies ont des caractéristiques de rayonnement différentes. Nous sommes persuadés que les photons sont capables de nous informer très tôt avant le début d'une dégénérescence pernicieuse et de révéler la présence d'un virus.
Dans les années 1980, Nagl (biologiste), Popp et Li ont établi des théories fondamentales sur la relation entre les biophotons et la croissance des cellules, sur les différences d'émission entre des cellules saines et des cellules cancéreuses. Ils ont fait l'hypothèse que la figure de diffusion des photons des cellules contient l'information sur la présence d'une infection virale ou bactérienne. Ceci a été confirmé par des scientifiques du laboratoire national de Los Alamos (USA). Le virologue Lipkind a trouvé les premiers éléments indiquant la présence d'une infection virale par les biophotons (Institut International de Biophysique, Research and History, traduction A.B)
Le rayonnement est fonction de l'état de la cellule. Les informations incluses dans les biophotons rendent compte de l'état énergétique de la ou des cellules émettrices. L'émission d'une cellule saine est calme, comme une rivière tranquille. Selon les recherches de F.A. Popp, si on blesse une plante, d'autres plantes semblables placées autour en sont averties, même si elles sont éloignées. Tout dérangement augmente la production de rayonnement, comme si une activité de réparation se déclenche.
Il est probablement possible de déterminer l'état de santé d'un tissu biologique et aussi d'un organisme entier par les caractéristiques de ses émissions photoniques. La santé semble se manifester par une communication d'information aisée et abondante à l'intérieur du corps, tandis que la maladie consisterait en un appauvrissement de ce flux d'information.
Analyse de la qualité des tissus biologiques
La mesure du flux de biophotons émis par un organisme permet d'en tirer des informations sur l'état de santé ou de déséquilibre énergétique de cet organisme. Cette méthode est un complément prometteur des autres méthodes d'analyse biologique, car elle a l'avantage de ne pas introduire de produits dans l'organisme, ni de faire des prélèvements, de sorte qu'elle ne le perturbe pas.
Sur cette base, plusieurs types d'appareils ont été conçus, d'abord à l'Institut International de Biophysique de Neuss en Allemagne, ou mis au point dans divers secteurs de l'industrie en Europe et au Japon, pour évaluer l'état sanitaire de végétaux, d'animaux, ou du corps humain.
Maladies et vieillissement cellulaire
Selon de nombreuses études, incluant celles de Popp et d'autres en Australie, en Pologne et au Japon, on peut détecter l'état cancéreux d'un groupe de cellules en mesurant ses émissions de biophotons. Sur une biopsie (tissus prélevés dans l'organisme), on peut distinguer les cellules tumorales (cancéreuses) des cellules saines, déterminer leur degré de malignité et évaluer leur réponse énergétique à des substances médicamenteuses.
Lorsqu'on stimule des cellules par la lumière, la bioluminescence augmente puis décroit. Popp, VanWikj et d'autres ont mesuré qu'un groupe de cellules cancéreuses n'émet pas les mêmes rayonnements que les groupes de cellules saines. La vitesse de décroissance est beaucoup plus grande dans les cellules malignes, ce qui indique que leur capacité de stockage en biophotons est réduite. De plus les biophotons ont perdu une bonne partie de leur cohérence. Si on compare l'émission par des tissus d'épaisseur croissante, elle augmente dans le cas de cellules normales et diminue dans le cas de cellules tumorales.
Par la même technique, il est possible d'évaluer le vieillissement cellulaire et l'état du sang.
Des chercheurs japonais (Kobayashi et coll.) ont construit une chambre noire munie d'un système de comptage pour le corps entier. Ils ont mis en évidence que l'émission de biophotons du corps suit en tous points le rythme naturel biologique. Lorsqu'il y a des déviations, elles indiquent une maladie.