Le biochamp, champ énergétique informationnel des organismes biologiques
L'existence de champs de rayonnements englobant et imprégnant les organismes biologiques a été proposée par de nombreux biologistes et physiciens. L'idée de coordination cellulaire par un champ a été étudiée par Herbert Fröhlich à Liverpool à partir de 1968 et Renato Nobili à Padoue à partir de 1985. Northrup décrit un champ électrodynamique qui est créé par ses composants atomiques et qui réagit sur les propriétés de ces composants. Le concept de champ morphogénétique (qui engendre les formes) a été développé d'abord par Gurwitsch en 1922 et Weiss en 1926, puis par Rupert Sheldrake (biochimiste britannique né en 1942) dans les années 1980. En France, le mathématicien Emile Pinel (1906 - 1985) a prédit mathématiquement l'existence d'un champ global à 9 composantes qui régit la vie des cellules.
D'autres ont montré la réalité physique du champ par les traces détectables qu'il manifeste lorsqu'il est sollicité:
Effet fantôme sur une feuille coupée. Photographie de type Kirlian
Merci à Noëlle
Dans les années 1940, Harold Burr a mesuré le champ électrique généré par et autour des corps vivants de salamandres, grenouilles, moisissures et humains. Il a montré que le champ électrique des œufs de salamandres, entre autres, prend dès l'origine la forme du champ électrique d'une salamandre adulte. C'est comme si l'œuf avait déjà l'information de sa morphologie adulte.
La technique moderne de mise en évidence de champs particulaires est issue des travaux de Seymon et Valentina Kirlian. Elle consiste à soumettre l'organisme étudié à une tension électrique et à capter sur film photographique les effluves électriques et lumineuses qui sont produites autour de l'organisme. Cette technique a été modernisée, informatisée par le Dr Konstantin Korotkov.
Le collaborateur des Kirlian, Víctor Adamenko, a découvert en 1966 que le champ pouvait rester présent quand la feuille a été découpée, même dans les parties manquantes. Ce n'est pas le cas pour les parties évidées à l'intérieur. L'expérience a été reproduite dans plusieurs laboratoires, dont celui du Dr P. Gariaev en Russie.